Le savoir-faire des jardiniers ne suffisait plus. Il fallait comprendre le type de la terre, le taux d'humidité dans l'air,le temps d'ensoleillement nécessaire. Le jardin comme la peinture avait sa propre chimie. La terre comme les pigments ses nuances, ses capacités d’absorption de l'eau, ses résistances à la chaleur et au froid. Il y avait deux temps, celui de sa préparation et de son ensemencement et celui l'attente.